Mardi 27/09 à 19h à la Baudrière (65bis rue Voltaire), café féministe de l’assemblée feministe de Montreuil : droit à l’avortement – luttes et solidarités féministes face à l’offensive des droites réactionnaires (en non-mixité femmes et minorités de genre)
Ni oubli, ni pardon !
9 septembre 2020 – 9 septembre 2022 – 2 ans de déni de justice. Ni oubli, ni pardon !
Idir Mederres, 22 ans est tué en 2020 au mitard du centre de détention de Lyon-Corbas.
Plus d’infos : https://lenvolee.net/idir-mort-au-mitard-de-lyon-corbas-sa-famille-exige-la-verite/
Justice pour toutes les victimes.
Force, courage et amour aux familles endeuillées, aux détenu.es, aux blessé.es, aux mutilé.es et toutes les victimes.
Grand banquet festif !
La Misgendered – soirée de soutien au FLIRT
La baudrière, squat anarcha-féministe TPG, invite le FLIRT pour une soirée de soutien au lineup 100% transféminin !
Au programme de La Misgendered : des lives, des DJ sets, un tattoo circus et une tombola exclusive 🥳
Le lieu vous proposera un bar, et les fameux stickers du FLIRT seront également disponibles à cette soirée prix libre ! 😏
Les fonds récoltés permettront de financer les actions de soutien du FLIRT ainsi que de rémunérer les artistes extraordinaires qui se sont déplacées pour l’occasion ! ✨
Lineup :
Yasmine des Astres (Toulouse) – Électronique / expérimental (live)
THÉA (Paris) – Emocore (live)
DJ PLAISIR (Dijon) – Happy Hardcore / Frapcore
Lola xx (Ivry) – Drum n Bass / Hardcore
Turbotox (Nancy) – Techno indus / Gabber
Adresse :
65 bis rue Voltaire Montreuil
Métro 9 Robespierre
Les bourgeois.es sont invité.e.s à donner toutes leurs thunes aux femmes trans précaires 😜
On vous attend nombreux.ses pour découvrir les artistes talentueuses réunies dans ce lineup
de zinzin ! 🤪
L’Assemblée générale reprend !
Rendez-vous le 15 septembre à 18H30 au 65Bis rue Voltaire à Montreuil, pour discuter de l’année, s’organiser et proposer des évènements politique !
Réunion publique d’organisation contre les JO de Paris 2024, le 16 juin à 19h
Réunion d’organisation contre les JO de Paris 2024, le 16 juin à 19h, au squat anarcha-feministe-TPG la Baudrière, au 65 bis rue Voltaire à Montreuil.
Depuis quelques temps, nous nous réunissons à Montreuil pour nous organiser contre les JO de Paris 2024. Nous souhaitons désormais proposer des moments publics d’organisation à fréquence régulière, dans l’est parisien. La prochaine réunion aura lieu le 16 juin à 19h, au squat anarcha-feministe-TPG la Baudrière, au 65 bis rue voltaire à Montreuil.
Pendant ce rendez vous mensuel on tente d’élaborer entre nous un discours contre les JO, on apprend à en identifier les différents acteurs et les impacts sur le territoire, on se renseigne sur les précédentes luttes à l’internationale et on rend acessible ces informations en réalisant des brochures ou en en traduisant d’autres. Sans oublier la constitution d’affiches et infokiosque. D’autres luttes ont lieu contre des projets des JO, par exemple les jardins d’Aubervilliers en Seine Saint Denis, on essaye de les suivre et on cherche à approfondir les luttes et les liens entre les différents collectifs existants et bien sur rencontrer de nouveaux opposant-e-s aux JO !
Comme la plupart des villes du 93 et des quartiers encore populaires de Paris dans le cadre des JO de 2024, Montreuil subira une accélération de sa gentrification et de la sécurisation des rares espaces qui sont encore accessibles aux plus précaires. Les projets d’allongement des lignes de métro connectant le Haut Montreuil au coeur de Paris entrainent déja des augmentations de loyers et des expulsions avant même leurs ouvertures. Nul doute que les espaces de vie des personnes en migrations, les lieux de travail des biffins et des TDS, des espaces de vie et d’organisations autonomes, seront encore davantage attaqués par la préfecture afin d’offrir aux touristes l’image d’une région parisienne propre et pacifiée. Pendant que les flics et leurs caméras « intelligentes » chasseront les fraudeurs du métro ou les personnes à la rue, les touristes viendront siroter des cocktails dans des tiers lieux éphémères. Les olympiades culturelles et les pubs des sponsors pullulent déjà dans nos quartiers, pour tenter de fournir le quota de bénévoles et de travailleurs-euses précarisé-es nécessaire à la tenue de cet évènement. Les JO2024 se rapprochent à grand pas et la communication ne cesse de s’amplifier autour des différents enjeux urbanistiques et sécuritaires qu’ils impliquent.
Venez nous rejoindre pour combattre la métropole !
JO ni ici ni ailleurs !
Programme papier :p
Les Digitales – chantier collectif !
Sur les 3 jours du week-end des digitales, chantier collectif ! Et si on construisait une tour ? Retrouve-nous à partir de 13H à la Baudrière.
/!\ [Chantier accessible que par une échelle]
4 JUIN – SOIRÉE MASQUÉE en soutien à la Défense collective Paris Banlieues
NO FACE NO CASE
SOIRÉE MASQUÉE en soutien à la Défense collective Paris Banlieues
Soirée à prix libre ce samedi 4 juin, à 21H à la Baudrière (65 bis rue de Voltaire à Montreuil, métro Robespierre ligne 9), squat anarca-feministe et TransPédéGuine.
Ramène tes potes, ta plus belle cagoule et ton parapluie customisé
Au programme :
Concert de Schlagattack
DJ sets
DJ Daria (dark disco/techno)
Orchid (bass)
DJ freshwater4mygreenplant B2B Ranucci (UK step breakbeat)
Défilé de parapluies (tout le monde pourra y participer !)
Bar : Biere 1.5€ tout le reste prix libre
Infokiosque : brochures sur le thème de la defense
🖍 Table d’impressions de dessins stylés de gens VNR par Litha
L’argent révolté nous servira sur le long terme à payer le loyer de notre local, nos frais de téléphone collectif pour garder le groupe ouvert et public, nos frais d’impression et nous permettra d’acheter du matériel de défense.
Pour rappel, la Défense collective Paris Banlieues est un groupe ouvert qui existe depuis 3 ans !
Nous nous organisons face a la police et à la justice. Notre but est de diffuser une culture de la défense collective dans la rue et dans les espaces de luttes.
On organise donc des formations juridiques pour apprendre à s’en sortir au mieux en garde à vue et au tribunal, et des ateliers déplacements collectifs pour travailler nos réflexes solidaires en manif.
On aide des personnes à préparer leur défense juridique avant un procès.
On participe aussi aux manifestations en tractant des conseils en cas d’arrestation et en participant à la défense de cortège
Rejoignez-nous lors de notre réunion hebdomadaire le dimanche 18h à la Fabrik ! ( Sonner à “la Fabrik” à l’interphone de la petite ruelle qui passe sous les grosses barres d’immeuble, au 23 rue du docteur potain, 19e arrondissement).
Samedi 18 juin, Journée d’hommage à Lamine Dieng
Journée d’hommage à Lamine Dieng
15 ans de lutte contre l’État : vérité rétablie, dignité rendue et mémoire gardée
Après 15 ans de combat, le comité vérité et justice pour Lamine Dieng vous invite à une journée d’hommage, de débats et de formation.
Le 18 juin 2022 à partir de 13h
Place Carmen 75020 Paris
Place Carmen 75020 Paris
Projection – Ateliers – Témoignages – Moment d’hommage – Stands – Cantine – Open mic
Il y a 15 ans, notre fils, frère, oncle, ami, Lamine Dieng mourait à quelques pas de la maison familiale, des mains de 8 policiers parisiens.
Depuis, nous, parents, amis et soutiens avons affronté 10 longues années de procédures judiciaires afin de faire reconnaître la culpabilité de ces 8 agents pour le lynchage de Lamine.
Dix ans qui ont débouché sur un non-lieu définitif par la juridiction française en 2017, ceci alors même que les expertises médicales concluaient à l’asphyxie mécanique par ces policiers en tant que cause du décès.
En 2018, la famille a poursuivi son combat pour la vérité et la justice en amenant le dossier devant la Cour européenne des droits de l’Homme.
Et en juin 2020, après 13 ans de confrontation judiciaire, l’État français a été obligé de reconnaître la torture infligée à Lamine et le crime :
Oui, ses policiers ont violé l’art. 2 de la Convention sur le droit à la vie.
Oui, ses policiers ont violé l’art. 3 sur les traitements inhumains et dégradants.
Aveu suivi du versement des indemnités fixées par la Cour à la famille de Lamine.
Et en juin 2020, après 13 ans de confrontation judiciaire, l’État français a été obligé de reconnaître la torture infligée à Lamine et le crime :
Oui, ses policiers ont violé l’art. 2 de la Convention sur le droit à la vie.
Oui, ses policiers ont violé l’art. 3 sur les traitements inhumains et dégradants.
Aveu suivi du versement des indemnités fixées par la Cour à la famille de Lamine.
Pour clore nos poursuites à son encontre, la République française a, par cet acte, admis publiquement que : plusieurs de ses agents, en groupe, ont infligé la mort à un homme non armé qui ne les menaçait pas, et que, pendant 10 ans, plusieurs de ses magistrats ont failli à leur devoir qui était de conduire un procès équitable.
Et dans les faits, ses magistrats ont violé l’art. 6 de la Convention européenne car il n’y a pas eu de procès (violation non retenue par la CEDH).
Et dans les faits, ses magistrats ont violé l’art. 6 de la Convention européenne car il n’y a pas eu de procès (violation non retenue par la CEDH).
En parallèle, la République française a aussi publiquement démontré qu’elle n’entend pas punir ses agents meurtriers et défaillants.
Lamine a été lynché par la police, déshumanisé par l’appareil judiciaire, et l’État couvre ses agents : telle est la norme sur le sol français en 2020. Et encore en 2022, car les non-lieux s’accumulent.
Cette règle qui persiste du régime d’exception envers certaines catégories de la population, a une histoire, une dérogation législative démarrée en 1685 avec le Code noir pensé par Colbert, puis avec les Codes de l’indigénat.
Lamine a été lynché par la police, déshumanisé par l’appareil judiciaire, et l’État couvre ses agents : telle est la norme sur le sol français en 2020. Et encore en 2022, car les non-lieux s’accumulent.
Cette règle qui persiste du régime d’exception envers certaines catégories de la population, a une histoire, une dérogation législative démarrée en 1685 avec le Code noir pensé par Colbert, puis avec les Codes de l’indigénat.
Les faits
Lamine avait 25 ans et venait d’acheter une moto neuve pour démarrer le lundi un nouveau travail. La police a saisi la moto et ne l’a jamais restituée.
Dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juin 2007, il a perdu la vie dans des conditions inhumaines, sous l’acharnement de 8 policiers, appelés pour tapage nocturne.
Lamine a été plaqué face contre terre, chevilles et mains attachées, traîné, plié et écrasé sous le poids cumulé des policiers agenouillés sur son dos, soit environ 300 kg.
Lamine avait 25 ans et venait d’acheter une moto neuve pour démarrer le lundi un nouveau travail. La police a saisi la moto et ne l’a jamais restituée.
Dans la nuit du samedi 16 au dimanche 17 juin 2007, il a perdu la vie dans des conditions inhumaines, sous l’acharnement de 8 policiers, appelés pour tapage nocturne.
Lamine a été plaqué face contre terre, chevilles et mains attachées, traîné, plié et écrasé sous le poids cumulé des policiers agenouillés sur son dos, soit environ 300 kg.
Son calvaire a duré 30 minutes, il a rendu son dernier souffle, respirant son vomi, avec un agent appuyé sur sa tête et deux autres pesant sur le torse et les épaules et un quatrième sur les jambes repliées.
Le décès de Lamine est constaté par le médecin du SAMU à 05h15, 1 heure et 15 minutes après le début de l’opération policière (03h59).
Et l’autopsie a précisé que Lamine était déjà mort à 04h29, donc 45 minutes avant que le médecin ne l’examine.
Et l’autopsie a précisé que Lamine était déjà mort à 04h29, donc 45 minutes avant que le médecin ne l’examine.
Le 18 juin 2007, la police des polices (IGS) a conclu son enquête préliminaire par une « mort naturelle d’un arrêt cardiaque, qui pourrait être dû à une overdose de cocaïne, cannabis et alcool ». La calomnie venant s’ajouter au meurtre.
Le 22 juin 2007, la famille a déposé une plainte avec constitution de partie civile, conduisant à l’ouverture d’une information judiciaire le 10 juillet 2007.
Et en 2008, les conclusions de la contre-expertise médicale ne laissent planer aucun doute : « mort d’une asphyxie mécanique due à l’appui facial contre le sol avec pression du sommet de la tête dans un contexte toxique. »
Elle a également relevé plus de 30 hématomes profonds sur le corps de Lamine, dont un de 7 cm, sur le cuir chevelu, la tempe, la pommette, le menton, les coudes, les poignets, le dos, le ventre, le bassin, le creux des genoux et les pieds. Des vaisseaux sanguins éclatés dans les yeux (pétéchies conjonctivales), à cause de la clé d’étranglement faite avec la matraque. Une morsure profonde de la langue. Un œdème cérébral important qui a provoqué un engagement cérébelleux (le cerveau qui sort du crâne). La lèvre éclatée et de multiples éraflures, une cyanose des ongles des doigts et des orteils (par manque d’oxygène à cause de la pression sur les poumons et la tête).
Le 22 juin 2007, la famille a déposé une plainte avec constitution de partie civile, conduisant à l’ouverture d’une information judiciaire le 10 juillet 2007.
Et en 2008, les conclusions de la contre-expertise médicale ne laissent planer aucun doute : « mort d’une asphyxie mécanique due à l’appui facial contre le sol avec pression du sommet de la tête dans un contexte toxique. »
Elle a également relevé plus de 30 hématomes profonds sur le corps de Lamine, dont un de 7 cm, sur le cuir chevelu, la tempe, la pommette, le menton, les coudes, les poignets, le dos, le ventre, le bassin, le creux des genoux et les pieds. Des vaisseaux sanguins éclatés dans les yeux (pétéchies conjonctivales), à cause de la clé d’étranglement faite avec la matraque. Une morsure profonde de la langue. Un œdème cérébral important qui a provoqué un engagement cérébelleux (le cerveau qui sort du crâne). La lèvre éclatée et de multiples éraflures, une cyanose des ongles des doigts et des orteils (par manque d’oxygène à cause de la pression sur les poumons et la tête).
Dix ans d’instruction pour s’entendre dire qu’il ne s’est rien passé, qu’il n’y a pas d’éléments matériels suffisants pour poursuivre les tueurs de Lamine.
Selon le magistrat instructeur du dossier, Patrick Gachon, il n’y a rien à reprocher au policier Jean-Wolf Mertens qui a étranglé Lamine avec sa matraque.
Ni à Jean-Benoit Christiaens, Mathieu Escande et Christophe Goblet qui ont pesé de tous leurs poids sur son buste.
Ni à Charly Catalan qui a pesé sur ses jambes repliées jusqu’au bassin. Ni à Morgane Rouxel qui a pressé ses tendons d’Achille.
Ni à Laurence Petiaux qui a assisté à toute la scène sans réagir, pas plus qu’à Julien Parsol qui a simulé un bouche-à-bouche en faisant un tuyau avec ses mains gantées.
Selon le magistrat instructeur du dossier, Patrick Gachon, il n’y a rien à reprocher au policier Jean-Wolf Mertens qui a étranglé Lamine avec sa matraque.
Ni à Jean-Benoit Christiaens, Mathieu Escande et Christophe Goblet qui ont pesé de tous leurs poids sur son buste.
Ni à Charly Catalan qui a pesé sur ses jambes repliées jusqu’au bassin. Ni à Morgane Rouxel qui a pressé ses tendons d’Achille.
Ni à Laurence Petiaux qui a assisté à toute la scène sans réagir, pas plus qu’à Julien Parsol qui a simulé un bouche-à-bouche en faisant un tuyau avec ses mains gantées.
Le juge a justifié sa décision par le fait que la technique du plaquage ventral n’est pas interdite en France et que les policiers se voyaient en situation de rébellion face à un homme pourtant déjà à terre à leur arrivée et bien vivant car ils disent qu’il leur a parlé. Rébellion d’un homme dont les quatre membres ont été entravés pendant toute leur intervention.
Chronologie judiciaire
22 juin 2007 : Dépôt de plainte avec constitution de partie civile.
10 juillet 2007 : Ouverture de l’information judiciaire.
2008 : Conclusions de la contre-autopsie.
2009 : Demandes d’actes par la famille, une nouvelle audition des 8 policiers impliqués.
2010 : Les policiers sont placés sous le statut de témoins assistés, leur donnant accès au dossier pour préparer leur défense.
2011 : Refus du juge d’organiser une reconstitution sur la scène de crime, au motif qu’elle ne permettra pas de « restituer l’état d’excitation » de Lamine.
2012 : Confrontation des parties et reconstitution dans le cabinet du juge.
2013 : Refus d’entendre les témoins du meurtre, au motif qu’ils n’apporteront rien de nouveau.
2014 : Après une instruction de 7 ans, le juge d’instruction Patrick Gachon émet une ordonnance de non-lieu pour les 8 policiers mis en cause.
2015 : La chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris confirme le non-lieu.
2016 : Attente du pourvoi en Cassation.
24 mai 2017 : Audience devant la Cour de cassation.
21 juin 2017 : Non-lieu confirmé en Cassation.
2018 : Dépôt du dossier à la Cour européenne des droits de l’Homme.
2020 : Victoire historique, par abandon, de l’État français à la CEDH.
22 juin 2007 : Dépôt de plainte avec constitution de partie civile.
10 juillet 2007 : Ouverture de l’information judiciaire.
2008 : Conclusions de la contre-autopsie.
2009 : Demandes d’actes par la famille, une nouvelle audition des 8 policiers impliqués.
2010 : Les policiers sont placés sous le statut de témoins assistés, leur donnant accès au dossier pour préparer leur défense.
2011 : Refus du juge d’organiser une reconstitution sur la scène de crime, au motif qu’elle ne permettra pas de « restituer l’état d’excitation » de Lamine.
2012 : Confrontation des parties et reconstitution dans le cabinet du juge.
2013 : Refus d’entendre les témoins du meurtre, au motif qu’ils n’apporteront rien de nouveau.
2014 : Après une instruction de 7 ans, le juge d’instruction Patrick Gachon émet une ordonnance de non-lieu pour les 8 policiers mis en cause.
2015 : La chambre de l’instruction de la Cour d’appel de Paris confirme le non-lieu.
2016 : Attente du pourvoi en Cassation.
24 mai 2017 : Audience devant la Cour de cassation.
21 juin 2017 : Non-lieu confirmé en Cassation.
2018 : Dépôt du dossier à la Cour européenne des droits de l’Homme.
2020 : Victoire historique, par abandon, de l’État français à la CEDH.